Mardi 11 octobre
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17:56
J'ai mis très très longtemps à passer cet épisode 2. Manque de temps. Questionnement du slave sur faire paraitre ou pas ce témoignage.
le voici enfin. Il sera suivi du 3ième et dernier bientôt. Version anglaise. Et version française très mal traduite mais qui donne tout de même une idée.
Partie 2: La Terreur de la cagoule
Ma journée est remplie par le service de mon Maître du début à la fin. Une session de jeu le matin et en début de soirée est entrecoupée avec
d'autres services au Maître, comme tondre son jardin ou resté assis nu avec lui dans le silence à l'ombre de quelques arbres du chaud soleil d’après-midi. Ce fut lors d'une de nos séances de
l'après-midi que je rencontrais un défi inattendu, bien que l'expérience avec la cagoule pendant l'une des nuits précédentes aurait dû m’alerter. Le Maître m’ordonne de me présenter nu, les
jambes écartées et la tête baissée. Mes bras étaient menottés et attachés à la barre de métal et il ne fallut pas longtemps avant d'entendre la chaîne de la poulie tirant lentement mes bras
au-dessus de ma tête. Il n'y a aucune possibilité d’échapper à cette position et le corps de l'esclave est totalement exposé et entièrement accessible : un terrain de jeu pour l'imagination
sadique. Le Maître était d’abord ludique dans son toucher de mon corps, ses mains gantées jouent avec mes mamelons. À ma grande surprise le masque que j'étais habitué à porter lors de nos
rencontres a été échangé contre une cagoule en cuir serré avec une seconde épaisseur sur le dessus. En un instant mon monde perceptif a été réduit à un mur noir directement en face de moi. La
chaleur de la fin d’après-midi de Juillet semblait ajouter vraiment quelque chose de très oppressif dans ce nouveau monde intérieur confiné. Ma première pensée était «vais-je être capable de
respirer? J’y suis arrivé et je pouvais, juste ... mais chaque souffle n’était pas facile, malgré la salle aérée voûtée où nous jouons. L’air a été filtré par la membrane en cuir serré, chaud,
l'air sombre et qui est difficile d'accès. La température de ma tête a commencé à augmenter, l'envie d'arracher la cagoule a commencé à croître, tout
pour échapper à cette prison. Il y avait cependant, pas d'échappatoire. Mon destin était scellé. En l'absence de repères visuels et de la capacité auditive réduite il n'y a pas de capacité à
anticiper ou préparer -….
La préoccupation du Maîtres pour mes mamelons a commencé à croître. Comme un pot sur le poêle, ils ont été laissés serré à un stade précoce, ce
qui laisse le temps de «mijoter» et «cuisinier» pour une délicieuse attention plus loin sur la route. La suppression des pinces entraîne une ruée immédiate de sang vécue comme un éclair de
douleur. Mon cri ne pouvait pas être caché; en fait, la plupart de mon expérience intérieure est là pour être vue. Dans cet espace nu de tête esclave, je suis transparent, vulnérable,
l'inhibition enlevée. Les nouvelles pinces ont été attachées et j’ai immédiatement connu une sensation de picotement, je ne l'avais pas ressentie avant que j'attribuai à l'état maintenant
hyper-sensible de mes mamelons après serrage prolongé ... après un certain temps, il disparut lentement. Plus de coups... et puis ... le picotement est revenu, cette fois non pas sous forme de
fond, mais une sensation au premier plan défini, l'intensification et le renforcement lentement dans un mélange de douleur et de plaisir qui transporte le destinataire dans un «autre lieu», à un
autre niveau. Je n’avais jamais vécu avant et je n'étais pas préparé à la réponse émotionnelle qui a suivi. Derrière le masque les larmes coulaient comme si quelque chose avait été forcé à la
surface de me laisser trembler et incontrôlée. Derrière le masque de mon visage était chaud et humide ... les mains gantées du Maître ont glissé jusqu'à mon torse pour enlever lentement ... les
électrodes ... alors je compris.
J'ai été desserré et abaissé de la barre et Il m’ordonné de me coucher sur le sol où je suis enchaîné au mur via mon collier de métal lourd,
toujours avec la cagoule double. J'ai entendu le Maître marcher loin et je suis resté la prostré sur le sol, maintenant seul dans le vide noir chaud avec un sentiment croissant de panique.
Pendant environ cinq minutes, je devais me battre pour rester calme. Une voix en moi suppliait 's'il vous plaît, s'il vous plaît libérez moi,
fouettez moi, Tawse moi, faites ce que vous voulez, mais libérez de ce monde noir ». Mais il n'y avait pas de libération, aucunes traces rassurantes, seul le silence de la pièce et la sensation
du tapis contre mon corps nu. Après un certain temps, je commençais à me concentrer sur la sensation tapis/peau et je me suis aperçu que je commençais à être consolé. Besoin de «descendre» après
l'expérience de l'électro. Espace, le silence et l'immobilité sont devenus mes amis dans le vide noir de la prison. Finalement, le Maître revint et enleva la cagoule. La ruée vers l'air frais
était si doux !. Pour ma honte, je me sentais pas prêt à renouer avec mon Maître et cherchait encore la solitude. J'espérais qu'il comprendrait et ne serai pas offensé. Pour ceux qui ont
connu la terreur de la cagoule, vous savez que la psyché a besoin de temps pour se reposer et se restaurer ...
Part 2: The Hooded Terror
My day is filled with service to Master from beginning to end. A morning and early evening play session is interspersed with other services to Master such as tending his garden or sitting naked
with him in silence in the shade of some trees from the hot late afternoon sun. It was during one of our afternoon sessions that I encountered an unexpected challenge, although the experience
with the hood during one of the previous nights should have alerted me to life in my ‘inner world’. As is Master’s way, he required me to present naked, legs apart and head bowed. My arms were
cuffed and attached to the metal batten and it was not long before I heard the chain of the pulley slowly raising this high above my head. There is absolutely no escape from this position and the
slave body is totally exposed and fully accessible…a playground for the sadist imagination. Master was initially playful in his touch of my body, gloved his hands grazing my nipples. To my
surprise the mask that I was accustomed to wearing during our encounters was exchanged for a tight leather hood with the mask put back on over the top. In an instant my perceptual world was
reduced to a black wall directly in front of me. The warmth of the late July afternoon seemed to really change to something very oppressive in this new confined inner world. My initial thought
was ‘will I be able to breathe?’ I checked and I could, just…but each breath was not the easy, relaxed inhalation from the vaulted airy room in which we play. Instead it was filtered by the tight
leather membrane, hot, dark and air that is difficult to access. The temperature of my head started to rise, the urge to rip off the hood began to grow, anything to escape this prison. There was
however, to be no escape. My fate was sealed. With no visual cues and reduced auditory capacity there is no ability to anticipate or prepare - the strikes from the crop and tawse came fast and
furious and soon my arse began to glow.
Masters preoccupation with my nipples began to grow. Like a pot on the stove they were left clamped at an early point, leaving time to ‘simmer’ and ‘cook’ for delicious attention further down the
road. The removal of clamps results in an immediate rush of blood experienced as a lightning bolt of pain. My scream could not be concealed; in fact most of my inner experiencing is there to be
seen. In my naked slave head space I am at my most transparent, most vulnerable, intensely experiencing each moment, inhibition removed. New clamps were attached and I immediately experienced a
tingling sensation I had not felt before which I attributed to the now hyper-sensitive state of my nipples following the prolonged clamping…after a while it slowly faded.
More beatings, more cropping between the legs…and then…the tingling returned, this time not in background form, but a definite foregrounded sensation, slowly intensifying and building into a mix
of pain and pleasure that transports the recipient into ‘another place’, to another level. I have not experienced this before and I was unprepared for the emotional response that ensued. Behind
the mask the tears flowed as if something had been forced to the surface to leave me trembling and uncontrolled. Behind the mask my face was hot and wet…Masters gloved hands crept up to my torso
to slowly remove…the electrodes…then I understood.
I was unclamped and lowered from the batten and ordered to lie on the floor where I was chained to the wall via my heavy metal collar, still hooded and masked. I heard Master walking away and I
was left prostate on the floor, now alone in the hot black void with a rising sense of panic. For about five minutes I had to fight to stay in control. A voice within begged ‘please, please
release me, whip me, tawse me, do what you will, but release me from this black world’. But there was no release, no reassuring footsteps, only the silence of the room and the feel of the pile on
the carpet against my naked body. After a while I began to focus on the carpet-skin sensation and I realized that I was starting to be comforted, needing to ‘come down’ after the electro
experience. Space, silence and stillness became my friends in the black void of the prison. Eventually Master returned and removed the hood. The rush of fresh air was so sweet and restoring. To
my shame I felt I was not ready to re-engage with Sir and sought further solitude. I hoped he would understand and not be offended. For anyone who has experienced the terror of the hood, you will
know that the psyche needs time to rest and restore…
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