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Après la première séance d'essai de l'étire couilles -séance dite de l'étire couilles - slave b avait la consigne de s'entrainer seul chez lui. La difficulté qu'il avait eu à supporter ce matos et la relative facilité avec laquelle slave n s'était, lui, prêté au jeu m'avaient convaincu de le forcer à ce boulot d'entraînement. Rappelons pour mémoire : slave b avait difficilement atteint les 3 cm d'écartement, slave n atteignait les 7 cm -le maximum- sans trop couiner. 

Slave b est un bon slave très obéissant. Il s'est appliqué à cet entraînement et nous avions rendez-vous pour vérifier les progrès. Compte rendu essentiellement en images :

nous commençons petit et la progression sera lente et régulière, entrecoupée par des pauses, des récompenses, des encouragements. Ici même pas un cm.

là nous dépassons le cm

ça progresse doucement mais sûrement 

nous arrivons finalement à 6 cm. c'est pas mal et ça me satisfait

Parmi les pauses et les encouragements slave b a pu se détendre en se promenant à 4 pattes, en venant me lécher les bottes (il adore ça), il a même eu droit de me sucer et -le top pour lui, se frotter les couilles et la bite sur le cuir de mon chaps et de mes bottes.

Il est indispensable pour tout esclave de connaitre parfaitement certaines positions. Il doit les prendre immédiatement, sans hésiter, au premier ordre du Maître. Pas besoin de longues phrases pour ce genre d'ordre, un mot bien souvent suffit : "présentation", "repos", "écarte", "en attente". Chaque position doit être parfaitement maîtrisée et devenir des réflexes pour l'esclave.

Elles font l'objet -on s'en doute- d'un apprentissage régulier et ferme. Dès la première rencontre l'esclave est confronté à certaines d'entre elles, puis, au fur et à mesure de son dressage, il en apprend de nouvelles tout en continuant, bien  évidemment, "révision  et travail" réguliers de celles qui sont déjà apprises.

Un oubli, une pause mal présentée, une confusion sont immédiatement et normalement punis. Non pas qu'il faille à tout prix une justification au Maître pour punir son esclave, comprenons-nous bien, mais bien parce qu'il est inacceptable de laisser un esclave  mal faire. Et qu'il n'y a pas de meilleures pédagogies avec l'espèce des batards et des slaves que la râclée et la punition. On observe d'ailleurs  le plus  souvent  que quelques coups de fouet (ou cravache ou tout autre outil à votre convenance) bien appliqués suffisent à l'esclave pour qu'il comprenne son erreur et la corrige. Pas besoin de longs discours, essayez vous verrez. Si les erreurs et les approximations se répètent, les punitions doivent s'alourdir jusqu'à totale disparition des "malfaçons".

Je vous mets quelques exemples en photo de ces positions. Je n'en ai retenues que quelqu'unes, certaines ici sont parfaites, d'autres nécessitent encore du travail.

• à genoux : c'est tout de même LA position idéale du slave, quoiqu'on dise !
  

position parfaite : genoux écartés, mains sur la tête, buste droit

position moins nette : genoux peu écartés, mollesse du buste, mais slave24  (compte rendu d esclave 24)est un jeune débutant, faut parfois savoir être indulgent

• aux pieds : c'est souvent la place du slave, soit qu'il puisse s'y reposer un peu soit qu'il se prépare à s'occuper des pieds du Maître (voir à ce sujet l'album photos pieds de Maître et pieds d'esclave)

• écarte : j'adore ça, l'esclave  debout écarte et fléchit les genoux. Les couilles et la bite sont totalement accessibles, la position est vite assez dure, il y a des compétitions intéressantes de à qui tiendra le plus longtemps...

position parfaite : fléchissement parfait, on voit bien les muscles des cuisses, la bite et les couilles ont toute la place de bien se balancer.

position écarte un peu plus délicate...

position écarte très très délicate : le fléchissement des genoux est rendu obligatoire par la chaine qui relie l'entrave des chevilles au cou, la touche finale par le poids à la chaine des seins.

• présente : c'est un générique. L'esclave doit présenter beaucoup de choses : son cul bien sûr, une cravache, sa gamelle, etc...

• repos : j'aime parfois que l'esclave puisse se reposer pourvu qu'il tienne le moins de place possible...

repos après une séance cravache assez sévère

Première utilisation avec slave b. de cet étire couilles : matos prometteur mais visiblement très hard pour lui. Peu de temps après j’ai eu l’occasion de le ré utiliser sur slave n. Celui-ci est un accoutumé des ballstretchers (minimum 4 cm), du coup la pose fut beaucoup plus facile et en une heure, nous étions arrivés à l’étirement maximal des couilles (7cm). Il faut donc que slave b s’entraine durement, slave  n se propose de lui donner des conseils : les batards entre eux ont toujours des choses à se raconter…

(L’écriture du texte est de slave b, je ne fais pas de retouches. Sa présentation du matos est un peu succincte alors une photo parlera mieux que lui)

Lors de ma dernière séance chez Maître Gilles, il m’a demandé de mettre mon ballstretcher nouvellement acquis… passer le moment délicat de la mise en place, j’ai pu enfin me présenter tout offert à Maître Gilles.

Je sentais le poids du ballstretcher tirer sur la base des mes couilles (entre la bite et les testicules)… bien sûr la peau était pincée, et cela me donnait une sensation à la fois douloureuse et intense.

Une fois que Maître Gilles a eu commencé à tourner la molette pour écarter encore d’avantage les deux anneaux, les pincements furent encore plus intenses, mais en plus, j’avais la sensation que mes testicules étaient comprimées… ouah !  C’est puissant !

Comme je commençais à bouger,  mon Maître a décidé de m’attacher les mains à une barre en métal reliée à un palan… bien entendu, j’avais les menottes aux mains et aux pieds… j’étais totalement à sa merci, les yeux bandés, sans défense et sans possibilité de me dégager…  totalement offert et sans défense… il a continué de tourner la vise, l’écart s’est un peu agrandi… et la sensation était de plus en plus forte… au début cela me faisait bander et je mouillais… hum !

Après quelques secondes de pause, il continua sa manœuvre et ce, à plusieurs reprises et sur le même rythme… je couinais comme une chienne à chaque tour qu’il faisait… puis il a pris mes couilles dans ses mains et a commencé de « jouer avec »… ça me tirait dans tous les sens et j’avais l’impression qu’on allait m’arracher les couilles… mais qu’est-ce que c’est bon !!!

Une fois les couilles bien étirées, pincées et martyrisées, maître Gilles a décidé de me faire marcher en avant et à reculons toujours en position offerte. A chaque pas et mouvement, la sensation est énorme, intense et finalement permanente !

Maître Gilles a mesuré l’écart fait : que 3 cm à peine !!! Il y a encore du travail à faire et de nombreuses séances avec ce ballstretcher pour augmenter mes performances et inventer de nouveaux jeux avec, car l’utilisation de ce matériel sera sans doute enrichie par l’imagination débordante et vicieuse de Maître Gilles…