mastersad03

J'aime avoir deux esclaves, je l'ai déjà dit. Là, je reçois d'abord slave rafa seul parce que c'est sa première venue et j'ai besoin d'un temps rien qu'avec lui pour la prise en main. Dans un second temps, slave b., vieil habitué, nous rejoint. Les deux comptes rendus se succèdent ici, j'ai ajouté quelques remarques en italiques rouges dans leur texte.Nous commençons par le texte de slave rafa

Arrivé à 15:30 comme convenu,[…]

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Je me désape totalement, me voilà entièrement nu, juste vêtu de mon ballstretcher inox que je porte depuis mon départ 4:00 plus tôt comme me l’avais ordonné le Maître.Ces 4 heures de route avec le ballstretcher ça lui a évité de croire qu'il faisait du tourisme et de la villégiature ! 

Je chausse le masque qui m’aveugle parfaitement, me positionne à genoux devant l’escalier les mains derrière la tête, et signifie au Maître que je suis prêt.

Des pas font grincer les marches, il  arrive, me toise, me demande de me lever, il me tâte tout le corps, sous les bras, entre les cuisses, la bite, les couilles, les fesses, puis la bouche, je sens qu’il m’observe.

Il m’équipe alors le cou d’un collier métallique lourd fermé par un cadenas avec une chaîne pour laisse, me met les menottes en cuir les mains attachées dans le dos, et me conduit dans la pièce au-dessus.

Là, debout les jambes bien écartées, il commence à me fouetter lentement avec une baguette flexible sur les cuisses, les couilles, la bite, le ventre, les pectoraux, les fesses, le dos…

Il me gifle, me mets les doigts gantés de cuir dans la bouche, me demande s’il peut me marquer ce que j’acquiesce, puis d’un feutre noir il m’inscrit sur le poitrail et le pubis les 5 lettre se « SLAVE ».

Je ne vois toujours rien, je suis complètement entré dans le plan, ne pensant à rien d’autre qu’à obéir aux moindres désirs du Maître.

Il m’ordonne de m’agenouiller et de lui lécher les pieds chaussés de bottes en cuir noir, il continue de me fouetter les fesses, la croupe, et le dos pendant que je lèche abondamment alors qu’il s’est assis, je renouvellerai plusieurs fois cet exercice.

Je ne me souviens plus très exactement de la chronologie des activités tant il y en a eu d’intenses qui se sont succédées, et tant j’étais concentré sur chacune d’elles, comme si je passais un examen, avec pour seule contrainte d’obéir le mieux possible aux ordres du Maître, de prêter mes flancs à ses assauts, de deviner ses volontés malgré mon total aveuglement.

Il y a eu la fessée à mains nues, et plusieurs équipements de flagellation comme les martinets, cravaches et fouets qui ont succédé à la baguette, certains plus difficiles à supporter que d’autres selon l’intensité des coups. De temps à autres, le Maître me caressait aux endroits où il avait frappé pour m’adoucir la peau, puis les tétons ce qui me provoque de légères érections, et il recommençait à taper.

Au bout d’un long moment de ce régime, il me demande de me tenir debout et de lever les bras au ciel, puis il me les accroche à un palan qu’il lève jusqu’à ce que mes pieds ne touchent qu’à peine le sol. Il me fouette encore dans cette position, assez peu de temps, parce que ma jambe gauche fragile ne supporte pas longtemps d’être sur la pointe des pieds.

J’entends le Maître prendre des photographies dans chacune des positions et sévices qu’il m’inflige, et aussi taper sur un clavier. Il me dira plus tard qu’il était sur Skype en conversation avec un soumis qui me voyait me faire torturer et lui donnait des idées de leurs fantasmes pour augmenter mes douleurs et leur plaisir de me voir ainsi martyriser. Il s’agissait de slave24 qui adore mater et est un grand utilisateur de skype. C’est une situation excitante mais j’avoue cependant préférer et de loin le concret…slave24, jeune débutant bénéficie décidemment d’un  traitement de faveur !

A genoux, les mains liées dans le dos, Le Maître m’enfonce une bougie dans la bouche qu’il allume, avec une autre qu’il tient lui-même.

La cire de bougie échoue sur le corps à différents endroits selon les mouvements de ma tête, celle de l’autre bougie me brûle la peau simultanément là où le Maître le décide ; il s’amuse de mes tressaillements à chaque gouttelette de ce liquide brulant sur mon corps.

C’est à la fois douloureux et agréable, avec toutes les sensations de souffrance, d’humiliation et de soumission en même temps. Slave rafa n’avait pas fumé la moquette mais là, il a eu des hallu ! il n’y avait qu’une bougie et non pas deux ! la prochaine fois, bien sûr, il sera satisfait et j'irai avec un fagot de bougies !

Les bougies éteintes, Le Maître m’enlève les morceaux de cire collés au corps à l’aide de ce qui me semble être une lame. Il s’agit tout simplement d’une petite canne très souple !

Ensuite il m’attache sur un rocking-chair, et me laisse me reposer quelques temps, il correspond toujours sur Skype, je m’endors parait-il une vingtaine de minutes.

la preuve :

Au réveil, j’entends le Maître à l’étage au-dessous qui discute.

C’est un soumis régulier du Maître, slave b., qui vient partager un peu mes souffrances et activités. Nous sommes bientôt ficelés ensemble, fesses contre fesses, les bras en l’air, et pendant que nous sommes fouettés, je me frotte les fesses et le corps sur celui de slave b.dans une danse sensuelle très agréable.

C’est ensuite dans l’autre sens que nous sommes attachés, offrant chacun nos ventres et couilles à la vue et aux martinets qui dansent bientôt sur nos attributs fragiles.

Nos cris respectifs rythment les coups qui rougissent nos corps.

Je ne sais plus quels sévices le Maître me dispense lorsqu’il me demande de tirer très fort sur les couilles de Bertrand comme si j’allais les lui arracher… Il est très endurant à cet exercice mais j’ai peur de lui faire très mal et ne suis pas très à l’aise. Je pense qu’il me faudra  te stimuler un peu plus dans ce type de travail la prochaine fois !

Nous avons droit ensuite à une séance d’électro stimulation sur les couilles d’abord pour moi, puis dans l’anus ensuite. Cet exercice dure assez longtemps, parfois assez agréable, parfois insupportable, selon les programmes et leur intensité.

Après ça, le Maître m’affuble d’un gode «queue de chien», s’assied sur le rocking-chair, et nous demande de lui lécher les bottes, le chaps en cuir noir, le slip puis les tétons.

Je le suce à plusieurs reprises, puis il m’ôte le gode avec l’aide de Bertrand, met une capote et me sodomise un bon moment, se fait sucer encore, puis, nous demande à tous deux de lui lécher les testicules pendant qu’il se branle vigoureusement alors que nos mains lui caressent les tétons ; le Maître n’en pouvant plus pousse alors un long râle qui nous indiquera qu’il a bien joui.

Après quelques minutes, il m’enlève le masque et la cagoule à slave b., et là je découvre pour la première fois le visage et le corps du Maître, la topographie de la pièce, et l’autre esclave.

Nous descendons, le Maître pris d’une grosse envie d’uriner depuis le début de l’après-midi, nous demande de le suivre à la douche, de nous agenouiller dedans, et de regarder son pénis bouche ouverte. Il nous arrose abondamment d’un jet de pisse qui semble ne plus vouloir s’arrêter, je bois de grosses gorgées du liquide amer et salé qui sort de sa bite, en prends sur tout le corps et le visage, sensation de suprême humiliation, d’inaliénable soumission.

Après une bonne douche où le savon me fût presque reproché, nous allons au salon boire l’apéritif avec le Maître,.

[…]

Après dîner, nous remontons à l’étage, alors que Bertrand range ses affaires pour nous quitter, le Maître me fouette encore un peu.

Après quelques ablutions, ayant encore envie d’uriner, il me demande de boire le maximum de sa pisse, et je m’applique à obtempérer, me douche à nouveau, me rince la bouche et brosse les dents, puis nous allons dormir…

La journée a été longue et fatigante […]

Nous nous promenons sur la terrasse et dans le sublime jardin aux innombrables rosiers, puis … […]

]Le texte de slave b. maintenant.

« Chroniques de Slave b., ou de 782 952 082 : Jamais deux sans trois ! »

Pour ma dernière séance, Maître Sad 03 ma demandé de mettre ma cage de chasteté avant d’arriver chez lui… ce fut fait, bien sûr !!!

Une fois arrivé, je savais qu’il y avait un autre esclave, mais Maître Sad 03 m’a demandé de me mettre nu et d’enfiler une cagoule avant de monter au donjon rejoindre mon compagnon de jeu…
En arrivant dans la pièce, je pouvais ressentir et sentir l’atmosphère sensuelle si particulière des séances. Maître Sad 03 m’installe les entraves : collier d’esclave, chaînes, menottes… Après une bonne fessée comme il se doit (cul bien rouge !), il me dirige vers l’autre esclave…

je sens une main qui m’attrape les couilles… au début cela était assez doux, il n’osait pas tirer dessus, mais qui donc ?… puis j’ai compris que l’autre esclave était assis sur un rocking-chair et à chaque mouvement d’avant en arrière de celui-ci, mes couilles étaient de plus en plus étirées…hum ! Être complètement à la merci de quelqu’un sans pouvoir rien faire, cela me fait bander… mais impossible avec la cage !!! Cela a le don de m’exciter encore plus !
Maître Sad 03 décide de nous installer l’un à coté de l’autre debout, puis nous travaille les seins chacun notre tour… ouah ! Écouter l’autre gémir me fait mouiller surtout avec une bonne paire de pinces qui m’échauffent bien mes tétons ! 
Pour l’étape suivant, Maître Sad 03 nous met dos à dos, nos mains menottées en arrière qui enlacent l’autre au niveau du pubis… cette position est, pour ma part, très sensuelle, car je pouvais ressentir sur mon corps ses fesses, son dos et ses mains qui cherchaient à me caresser le bas ventre et mon sexe… mais une fois de plus, avec la cage, cette opération devient impossible, ce qui décuple mon excitation et me fait mouiller ! C’est alors que Maître Sad 03 nous travaille encore les seins, nous fouette le torse avec une cravache et un martinet, et nous étire les couilles jusqu’à ce qu’on n’en puisse plus ! Que de cris, de gémissements, de remerciements à notre Maître tellement cela était bon !!! Mais, c’était loin d’être la fin… surtout pour l’autre qui a eu de « l’électro stimulation » au niveau de la bite… une fois bien abattu par cette épreuve, Maître Sad 03 ordonne à l’autre Slave de se mettre à quatre pattes et à moi de lui lécher les seins pendant qu’il sodomise mon compagnon de jeux !

Après cet « intermède », notre Maître exige que nous nous mettions tous les deux à quatre pattes et surtout le cul bien offert…c’est alors que je sens dans mon anus rentrer un gode… tiens ! Il n’est pas aussi gros que je l’avais imaginé… que cache ceci ? J’ai très vitre compris ce qu’il m’arrivais lorsque j’ai ressenti, au début, des petits picotements, puis des coups de plus en plus forts dans mon cul… tellement forts que cela contactait mes sphincters et stimulait ma prostate… je sentais ma bite gonfler dans la cage à chaque coup d’électricité, mais ne pouvant pas bander, j’ai mouillé à fond ! 

   un esclave à chaque pied c'est le top pour moi, rien à dire de plus !  

Après être, tous les deux, complètement abattus, après maints remerciements en bonne et due forme, après maints gémissements de douleur et de satisfactions à la fois, Maître Sad 03 nous ordonne, pour ma part, de lui lécher les rangers et de remonter tout le long de son pantalon en cuir  jusqu’à son entre jambe pour remonter jusqu’à ses seins, et pour l’autre de lui faire une pipe super gourmande… la réaction de Maître Sad 03 fût rapide et sans doute appréciée puisque ses deux Slaves l’ont fait jouir en remerciement de cette séance fort agréable !!!!

     

Le débourrage du bâtard enzo suit son bonhomme ( ! ) de chemin. Il y met du coeur. Là une bonne séance bougie entre autres éléments du dressage. Aperçu en photos : enzo les "trafique" avec un indéniable sens artistique et les commente à sa façon. Façon non dénuée d'humour. Et l'humour, c'est toujours un plus non ?