Dimanche 17 juillet
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16:35
J'ai reçu un slave anglais pour un stage de 4 jours. C'était une première pour lui, pour moi également. Les contacts internet ont été rapides, clairs, et
intuitivement , les deux étions surs que "ça pouvait coller" entre nous. Un gars prêt à faire 12 heures de transports ne peut pas être totalement nul !
Comme d'habitude je ne change rien à ce compte rendu que je lui ai ordonné de faire. Tout juste une ou deux remarques en rouge. Traduction maison, qui vaut ce
qu'elle vaut.
Bien évidemment vos commentaires et questions et remarques sont les bienvenus. Suivant les cas, je réponds ou je force slavemax à le faire. Bien que loin, il
doit être disponible et se maintenir dans l'état d'esprit servile et de bâtard qu'il avait en partant de cette "training session". Donc n'hésitez pas, même à le questionner sur des aspects qui
peuvent l'humilier, le rabaisser, lui rappeler fermement sa place, il adore ça le bâtard !
slave max attend son Maître
Journal de slave max
I am slave_max ….an Englishman lost in France . If you come looking for me you may never find me. I am down the deepest valley, hidden behind the thickest wood, down the
smallest track where the road finally ends. You can go no further. The countryside invades, the fields and woods swallow each man and remind us of our insignificance in the actual scheme of
things. Here, nature is king.
Silence reigns and I am alone with my thoughts. This is a wonderful environment for a slave as it provides the optimal conditions for reflection and the letting go of the free world mindset for
anyone who dares. Intuition brought me here. I travelled a long distance, a long and arduous journey to meet Master. My arrival was tough with no time for any gradual transition; the landscape of
our relationship was forged very quickly. Immediate nakedness, immediate collaring and immediate contact with the crop. Sir is firm and very imaginative and HE is also attentive to his slaves. It
was kind of him to feed me whilst blindfolded each morsel of food and kind of him to let me eat from the bowl on the floor. Something important happened in this first encounter. Sir noticed my
cock begin to swell as he touched my nipples and grazed it with the crop…an astute observation for the direction of future developments. Things were to get harder though as the night progressed.
No bed, only a hard floor and directed to sleep on a thin mattress I was hooded and cuffed but could not sleep. The silence of and blackness of the night combined to produce a rising panic in me.
I pulled off the hood and finally with dawn about to break I fell into a brief shallow sleep.
Master rises early and my rest was not to be for long. On discovering the removed hood Master was displeased and told me I would be punished for this misdemeanor. To the outside observer being
naked and collared, arms pulled to the ceiling leaving my body as a vulnerable blank canvas for the receiving end of the whip, must seem a terrifying prospect. For a masochist like me
though, it is like ‘coming home’. When I am whipped, of course I feel pain, but I also begin to feel something released inside which is my deep inner experiencing of myself as a slave. I look at
my body and see where the whip has curled around my waist and I wear these marks with pride….marks and welts still visible to be seen. The observations of the previous evening were soon acted
upon and so began a returning torment of my nipples, clamps, scissors from the operating theatre. The removal of these makes me scream in agony, something I must learn to control. On the other
hand the grazing of my nipples after torture only drives a need to suck cock and to pleasure, Sir. But no pleasure for the slave as the chastity device was soon applied and finally my hair was
shaved. I look in the mirror at my reflection and see a locked cock, shaved body and heavy metal collar. I am a slave.
metal collar. I am a slave.
le bâtard à mes pieds
version française :
je suis slave_max ... .un Anglais perdu en France . Si vous venez me chercher, vous ne pourrez jamais me trouver . Je suis au fond de la vallée la plus profonde , cachée derrière le bois le
plus épais , au bout d’un minuscule chemin qui se termine là . Vous ne pouvez pas aller plus loin. La nature est omniprésente, elle envahit tout, les champs et les bois cernent les hommes
et nous rappellent notre insignifiance. Ici, la nature est reine.
Le silence règne et je suis seul avec mes pensées. Ceci est un environnement merveilleux pour un esclave car il offre les conditions optimales pour la réflexion et le laisser-prise d l'esprit et
du monde libre pour toute personne qui ose franchir le pas. L’intuition m'a amené ici. J’ai voyagé sur une longue distance, un long et pénible voyage pour rencontrer le Maître. Mon arrivée a été
difficile avec peu de temps pour une transition progressive; le cadre de notre relation a été forgé très rapidement. Nudité et collier de fer immédiats. Le Maître est ferme et très imaginatif et
il est aussi attentif à ses esclaves. Les yeux bandés, il me nourrit en enfournant la nourriture morceau par morceau dans ma gueule, puis il me laisse manger dans la gamelle sur le sol. Quelque
chose d'important est arrivé dans cette première rencontre. Le Maître remarqua mon sexe commençant à gonfler quand il a touché mes mamelons ... une observation astucieuse pour la direction des
développements futurs. Les choses se sont durcies comme la nuit avançait. Pas de lit, seulement un sol dur et un matelas mince pour dormir. je suis encagoulé et menotté. je ne pouvais
pas dormir. Le silence et la noirceur de la nuit se sont combinés et la panique est montée en moi. J'ai retiré la cagoule. Et seulement avec l'aube sur le point de craquer je suis
tombé dans un sommeil profond mais bref.
Le Maître se lève tôt et mon repos était fini. En découvrant le cagoule enlevée le Maître était mécontent et m'a dit que je serais puni pour ce délit. Pour l'observateur extérieur, mon corps nu
et le lourd collier de fer, les bras tirés au plafond laissant mon corps comme une toile vierge vulnérable pour la réception du fouet, doit sembler une perspective terrifiante. Pour un masochiste
comme moi, c’est plutôt comme «rentrer à la maison». Quand je suis fouetté, bien sûr, je ressens de la douleur, mais je commence aussi à ressentir quelque chose se libérer à l'intérieur qui
est ma profonde personnalité que je connais : celle d’un esclave. Je regarde mon corps, le fouet a entouré ma taille et je porte ses marques avec fierté ... .marques et zébrures
longtemps visibles. Les observations de la veille ont été rapidement suivies d'effet et ainsi a commencé un supplice retour de mes mamelons, des pinces, des « ciseaux » de la salle
d'opération. Quand le Maître enlève ces pinces, je hurle de douleur, et je comprends que je dois apprendre à contrôler ces réactions. D'autre part, le jeu des doigts du Maître sur mes
mamelons après la torture entraîne chez moi un besoin de sucer des bites et de satisfaire mon Maître. Mais pas de plaisir pour car je porte déjà une cage de chasteté . Enfin mes cheveux sont
rasés (l’esclave se perd dans la chronologie : il a été rasé dès son arrivée, juste après sa bouffe dans la gamelle, la veille au soir donc). Je regarde dans le miroir mon reflet et vois une
bite verrouillée, le corps rasé et collier de métal lourd. Je suis un esclave.
quelques photos de ces débuts, mais comme d'habitude encore, je ne peux pas faire le reporter photographique et l'acteur !
après quelques échauffements
le bâtard gardera la cage tout au long du séjour. Pas question qu'il jouisse cette première rencontre.
à la fois un test et une récompense pour le slave
la suite bientôt
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