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Tu es un bâtard que ces images font triquer. Tu te dis que tu t'y verrais bien. Tout cela te fait mouiller. Plutôt que te branler tout seul dans ton coin, pose ta candidature ici : link
Précise tes attentes, tes limites, tes dispos. Tes expériences aussi. Les débutants sont les bienvenus pour peu qu'ils soient sincèrement dédidés.
Les fantasmeurs, les gars qui discutaillent pendant des mois pour disparaitre au dernier moment, essayez de me laisser tranquille !
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Compte rendu de slave Y (qui se surnomme lui-même « la couineuse » et reconnaissons qu’à l’époque, ce n’était pas mal vu)
Je n’ai rien retouché à l’expression du batard, même pas les passés simples aujourd’hui si peu usités ! (vieille France, la couineuse ?)
Une fois dénudé je vous ai appelé, Maitre, pour vous dire que j’étais prêt.
Vous m’avez mis le bandeau et la chaine pour que je vous suive et vous m’avez conduit à l’étage, où se passerait mon asservissement.
Je vous ai suivi et vous ai obéi : je me suis mis à quatre pattes pour avancer là où vous me meniez.
Quelques premiers coups et vous m’apprîtes la position qu’il faut pour exposer son cul. La baguette fait mal et compter les coups ne m’est pas aisé.
Vous avez ensuite écrit les mots de ma servitude que je n’ai pas vus.
Encore des coups sur le fessier pour que l’apprentissage se fasse et vous me conduisez vers l’enchainement.
La couineuse apprendra à se taire de plus en plus.
Là se sera debout. Vous m’attachez les bras en l’air à ces chaines, Maitre. Et pour me faire taire le bâillon, la boule. Vous continuez le travail des seins que j’endure, un peu. Pinces à la peau et claques aux fesses.
Par moment j’ai votre peau contre la mienne Maître. Je subis du mieux que je peux. Quand vous m’enlevez le bâillon je ne couine plus.
Ensuite vous me détachez et je vous suis, obéissant esclave. Là j’ai droit à d’autres coups puis à mon premier pilori.
Oh divin pilori !
Je suis ficelé comme il faut pour vous offrir mon trou Maître.
Ensuite, sans bandeau, je suis à vos pieds, entre vos cuisses. Et pendant que vous finissez mes seins, je fais sortir mon jus… Vous frottez votre chaussure à ma queue Maitre et le sperme qui s’y met, je vais le lécher.
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